Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Marie-Gabrielle Montant

  • Le Roman-miette

     

     

     


    Ce livre est une traversée littéraire, 
    comportant des tomes se chevauchant…

    Il s’est empli jusqu’à trouver sa forme et dans le même instant, 
    le même mouvement, le même élan : une suite… 

     

    L’eau passait à travers les pierres - en y inspirant la traversée de
    ce jet noir, passeur de vivres et des eaux - que son fil conduisait 

    au passage sensoriel où laisser le cordon à couper…


    « Ce n’était pas cousu de fil blanc, ni repérable à son fil rouge, 
    mais accompagné du fil noir… »

     

    Le Roman-miette, mode d’emploi ? 

    Ha ! Ha ! Ha ! Ha ! Ha ! Ha !

     

     

     

     

    Il y a le fil noir… 
    transposable des trois prénoms 
    d’Anomalie, d’Antigone et de Nazoru
    AVANT... PENDANT... APRES…*


    Il y a le fil noir… 

    du biais de sexes enfouis chavirant ici d’une fille conversant 
    en chemin plusieurs fois en garçon.


    Il y a le fil noir… 

    de la présence gainante au miroir concave de l’écho utile : 
    « tu, nous, vous, on » ; intérieur - extérieur.


    Il y a le fil noir… 

    de l'horizon de la phrase choisie figurant mieux sa représentation visuelle,
    afin d’y assurer une volonté capable de remonter le temps.

     

     

    Il est resté le fil d'une vie :
    UN AVENIR - UNE PERSONNE - UN LIEU - UNE SURFACE ET SA PROFONDEUR… via trois prénoms d’un même sexe - la transparence de genres - tu, nous, vous, on… et une phrase surlignée par page.
      

            « La miette est bien l’enfant des sages… » Le Roman-miette, ou récit de l’inconscient, il y avait eu ce pain - la mie : son âge ! Je n’ai fait qu’écouter les voix, tandis que j’ai eu déjà l’impression que ce pourrait avoir été hier… Alors, remonter le temps ?

             J’aime ordonner les mots dans l’axe feint des pages - la quadrature du cercle d’un cadran oculaire, que sais-je ? Quelle exclamation ? pourquoi me parlez-vous d’exclamations... J’adhère d’une traversée à l’autre, ou d’une traversée l’autre : horizon sans repère et pourtant, je me souviens de toi, je me souviens de tout.

     

     

     
    *Avant… Pendant… Après… se lit aussi : « avant, pendant après », où avenir et passés sont concomitants ; le livre structural.

     

     

     

    NAZORU